einstein : l ' homme du siecle dernier...
L'HOMME DU SIECLE : EINSTEIN
Einstein le dernier des poètes,
l'homme aux multiples visages
du sage aux jeune homme tourmenté,
Du Graal au désespoir du noir
il a souffler dans le creux de l'oreille de PLANCK
subjuguer par Galilée
Einstein était un illuminé
son rapport à la musique était particulier
de lui nous ne savons rien
il avait tant faim
avant l'année miraculeuse
Einstein a connu l'enfer du désespoir
lorsque la réussite le narguait
le noir il connait
sa grandeur est infime
comparé a l'univers
dépassé son ses idées,
les cordes ont tout balayé
mais sans lui personne n'aurait pu avancer
de son Allemagne natale Einstein a eu tant honte
les nazis il a fuit
question de survit
d ' ou son aversion pour l'armée
ceci n'est pas un compte de fée
ceci est le récit de la plus belle des vies,
celle consacré à la poésie des atomes,
à la vitesse de la lumière
celle qui erre dans chaque parcelle de terre
celle qui vole au dessus de la matière
j'erre dans la personnalité d'Einstein
je me perd
je tente de pénétrer son cerveau
d'atteindre la clé de sa constellation
pour ce faire je tisse des petits vers
Einstein était un illuminé ,
d'un éclair il se concentrait sur les photons
Handicapé par la parole
sache lecteur que E=mc2 n'avait pas la parole
il ne conversa qu'a partir de cinq ou six ans
Un attardé allait donc révolutionné le monde
un débile , un handicapé allait devenir ,
le centre du cosmos
l'épicentre de ma prose
aujourd'hui encore,
l'on étudie le cerveau de E=MC2,
il a révolutionné le monde
parce que il a su régénérer ses bases
Einstein doutait de tout
il a absorbé les personnalités de Galilée, de Newton
puis il les a transcender, en les critiquant
Sache Ô lecteur que l'année de naissance de E=mc2, Maxwell est mort
Coïncidence
un génie en a chassé un autre
excentrique était le moteur cérébral de Einstein
il ne voulait rien faire comme tout le monde
seulement déposé sur Orion quelques gouttes de piano
Majestueux mais jamais orgueilleux
E=MC2 bâtissait des équations de vers
le génie ne peut être constant
par éclat il arrive
E=mc2 la subjugué devant une note de musique
Pathétique?
Non je te parle lecteur d'un type qui n'avait pas peur
des erreurs il a fait
volatile il était
grâce a sa passion il survivait
la théorie du génie existe
Un abruti a la clé
mais ce dernier ne veut pas la donner
Exclamer au monde
la vérité
l'atomicité de la pensée
l'absorption de personnalité, a ce petit jeu
Einstein était très doué
De Galilée il a été foudroyé
ce dernier n'a fait que bricoler un jouet déjà existant
mais il a eu le culot de défier le monde
pour une idée
pour un vers
pour de l'antimatière
théorie de l'inflation cosmique, l'univers aurait été en expansion violente
tout comme le cerveau de E=MC2
le délire il a connu
il en est revenu
un être pas comme les autres
sa majesté des atomes
celui qui élevé l'humanité
celui qui berce mon caractère
j'erre dans l'esprit de E=mc2
je me sens si bien dans cet homme
puis Prince envahit la parti
aliptique est la mélodie
la fleur de lotus exacerbe mes sens
la méditation me permet de voguer d'étoile en étoile
je tisse une nouvelle toile
j'aromatise mes vers,
la terre c'est de la matière éphémère
Einstein lui est éternel
sa découverte des plus importantes
recel encore bien des mystères
l'espace temps conscience
question de tolérance
l'errance c'est communiquer avec la transe
la danse des atomes
exaltation de l'esprit
l'empire de la vie
un livre ,
une mélodie
voici le récit d'une rapsodie
le reflet de mes vers transperce la matière
l'obscure clarté, c'est oublier son EGO
Absorbé les dimensions...
Florent , la fleur de lotus.