LA FIN DU MONDE...
le tableau de la Joconde
les chimères de notre monde
les ondes sensuelles de l'enfer
et tous ces êtres amers
bercé par des idées négatives
la fin du monde
lorsque la terre s'écroulera sur elle même
lorsque les matières premières seront épuisés
et la Joconde nous contemplant du haut de sa tombe
la pénombre de la matière, la volteface des présidents
et tous ces gens errant agonisant
il est dorénavant trop tard
l'homme a détruit son petit nid
et si la terre était le paradis
l'angélus peut résonner
Dieu ne peut plus rien
depuis que les apôtre ont travesti la fin
les écrits religieux voleront en éclat
comme ce jour ou Dieu fut prit pour un lépreux
la fin du monde
l'orgasme de l'organe de l'infâme
les flammes de mon âme
le diable s'est emparé de notre intellection
l'homme court à la déraison
petit cris pour la constellation
bientôt nous irons coloniser une autre planète
histoire de reproduire les mêmes erreurs
l'homme n'a plus de cœur
il a détruit dame nature sa créatrice
l'animal dominant accusé d'homicide
volontaire est notre esprit
orgueilleux résonne le tambour battant d'un fin de faux semblant
l'homme a perdu son âme
et ces gens qui ont voulu prévenir
comment as t 'on pu trahir notre planète
j'ai une requête
que l'on se jette dans le cosmos
j'ose par ma prose bannir toutes ces choses
l'osmose des éléments perdu dans le vent
l'homme a défié le temps
un silence lancinant
se fait l'écho du néant
je ne suis pas d'ici
je suis d'ailleurs
dans mes pleurs réside l'amertume d'un homme qui a perdu son cœur
tant d'erreur
tant d'omission
la prison du matérialisme dans lequel l'homme s'est enfermé
et ses racines que nous avons oubliés
j'accuse mes semblables d'oublier la notion d'humanitude
la seule plénitude réside dans l'humilité
la conscience d'exister grâce a l'humidité de la rosée
la conscience de l'espace temps c'est concevoir notre monde comme une interaction
ainsi l'homme ne devrait- il pas revoir sa conception
son égoïsme, son manque d'altruisme
nous a perdu dans les ténèbres d'un schisme
la capitalisme a montré ses limites
l'individualisme traduit une certaine fuite
une peur de l'autre
l'homme fait parti du monde
l'univers concentré dans la Joconde
les ondes cosmique de la concentration
l'intelligence de la conception
c'est de créer sans détruire
l'homme a voulu se nuire
la fin du monde est arrivé
à force de nargué les lois de la nature
celle ci a finit par nous enfermer sous ma plume...
Florent.